Un syndicalisme autogestionnaire et sans permanent

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SIPM

Ca presse n° 0

printemps 2002

samedi 5 juillet 2003

Ca presse numéro zéro : paru pour la naissance du "secteur presse", réunissant les adhérents de plusieurs syndicats CNT travaillant dans la presse, en vue de créer un syndicat d’industrie.

Infoline
L’information n’est pas une marchandise, ceux qui la font non plus. Il est temps de s’organiser pour résister aux logiques patronales.

Pigiste un jour, pigeon toujours
Les pigistes sont les intérimaires de la presse. pour les journalistes, les secrétaires de rédaction et les maquettistes, c’est « Bosse et tais-toi ! »

Détracteur de rédacteur
Journaliste, du rêve à la réalité... Extraits d’un texte désenchanté.

Le no man’s land du journaliste territorial
la presse territoriale est en plein essor. Mais, si elle échappe à une logique commerciale, elle demeure prisonnière d’une logique électorale. Et ceux qui y travaillent restent en dehors des cadres conventionnels de la presse.

Le poids des photos
Photographe... tel un grand fauve, il il arpente le bitume pour chasser l’Image ! Mais le fauve est bien individualiste et, face au patronat, la proie, c’est lui.

Médiaktivisme
Parallèlement à la lutte syndicale, l’objectif est aussi de proposer des alternatives au cauchemar marchand : don’t hate the medias, be the medias.

Le dessinateur de presse
Son quotidien en neuf tableaux

La CNT au pays des soviets
En façade, un journal militant ; en arrière-cour, répression, logique patronale, licenciements. Sans dialogue. Il n’y a pire patron qu’un patron « de gauche ».

Du rififi à Bellini
La caisse de retraiote des journalistes manage à la sauce libérale. Quand répression syndicale se conjugue avec remise en cause des retraites.

Les journaux gratuits contre la presse
Les gratuits débarquent en France. Avec une certaine conception de la presse. Un avant-goût de ce que nous préparent les marchands qui se l’accaparent.

A l’école de la servitude volontaire
Dernièrement, le prestigieux Centre de formation des journalistes était en grève. le motif ? Une augmentation de près d’un tiers des frais de scolarité. lors d’une journée d’action, les étudiants ont exprimé leur rejet d’une certaine presse poubelle, celle des PPDA et autres chiens de garde du PAF.